M. X. et M. Y. sont poursuivis, du chef d'escroquerie, pour avoir augmenté frauduleusement le montant déductible de la taxe sur la valeur ajoutée déclarée par leur société.Dans un arrêt du 10 juin 2010, la cour d'appel de Rennes a relaxé les prévenus.Les juges du fond ont retenu que les remboursements ont été effectués sur la seule présentation des déclarations mensuelles du chiffre d'affaires taxable et des demandes de remboursement trimestrielles dont (...)
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