Agissant par surprise en procédant à des attouchements sur la victime alors que celle-ci était endormie, puis en poursuivant ses gestes qui ont généré chez elle un état de sidération, qu'il a lui-même constaté, l'auteur des faits a agi en toute connaissance du défaut de consentement de cette dernière.
Pour condamner un prévenu pour agression sexuelle, la cour d'appel de Rennes a relevé que ce dernier admettait s'être livré à des attouchements sur les (...)Cet article est réservé aux abonnés