Le juge devait fixer la date de jouissance divise pour évaluer la soulte en prenant en compte les intérêts respectifs des copartageants.
M. X. et Mme Y. étaient mariés sous le régime de la séparation de biens et ont acquis en indivision, chacun pour moitié, un immeuble financé par un emprunt les engageant solidairement.Ils ont ensuite divorcé et la liquidation et le partage de l'indivision ont été opérés. L'immeuble en question a été attribué préférentiellement à M. X.Ce dernier est décédé ensuite et laisse une épouse, Mme Z. et deux filles nées du premier mariage.Les deux filles et (...)
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