Ne donne pas de base légale à l'arrêt, la cour d'appel qui n'a pas recherché si le sens qu'elle attribue à l'exception de litispendance internationale était conforme à celui que lui donne le droit positif du pays étranger.
Des époux de nationalités française et israélienne se marient civilement à Paris sans contrat préalable en 1983 puis se marient religieusement en Israël en 2010. L'époux saisit le tribunal rabbinique de Jérusalem d'une demande de divorce appelé "gueth" selon la loi mosaïque. L'épouse soulève l'exception d'incompétence de ce tribunal et saisit le juge aux affaires familiales de Paris d'une requête en divorce en 2011. L'époux invoque une exception (...)
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