Le Conseil d’Etat confirme son opposition, hors circonstances particulières, à une exportation de gamètes vers l’étranger en vue de réaliser une insémination post-mortem.
Atteint d'un carcinome épidermoïde de langue et en prévision d'un traitement par chimiothérapie, un homme a procédé au dépôt de ses gamètes au sein d'un centre d'étude et de conservation des oeufs et du sperme (Cecos).Après son décès, son épouse a sollicité le transfert de (...)Cet article est réservé aux abonnés