Depuis la loi de bioéthique de 2021, l’assistance médicale à la procréation est destinée à répondre à un "projet parental" qui, pour un couple, s’interrompt si l’un des membres du couple décède. Le Conseil d'Etat juge que cette interdiction n’est pas incompatible avec la convention européenne des droits de l’Homme.
Une veuve qui s’était engagée avec son conjoint, avant le décès de celui-ci, dans un parcours d’assistance médicale à la (...)Cet article est réservé aux abonnés