Dans un jugement du 30 octobre 2009, le tribunal de grande instance de Paris a estimé qu'un journaliste qui se bornait à reproduire les propos de la personne qu'il a interviewée peut bénéficier de la bonne foi sans avoir à se justifier. Il a précisé qu'exiger d'un journaliste qu'il se distancie du contenu d'une citation qui pourrait porter atteinte à l'honneur d'un tiers ne se concilie pas avec le rôle de la presse d'informer sur des faits ou des opinions et (...)
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