Le juge des référés rejette la requête tendant à ce que la commune de Nice cesse l’utilisation de tout logiciel qui permettrait la reconnaissance faciale dès lors qu’il n’est pas établi que de tels logiciels seraient effectivement utilisés.
Plusieurs associations ont demandé au juge des référés du tribunal administratif de Nice d’enjoindre à la commune de Nice de :- cesser immédiatement l’usage du logiciel édité par la société Briefcam (...)Cet article est réservé aux abonnés