Vont à l'encontre de la Convention EDH la violation de la vie privée de prostituées séropositives dont les identités et les données médicales ont été rendues publiques par la police grecque, ainsi que les prélèvements sanguins réalisés sur ces femmes sans base légale.
L’affaire concerne la publication, sur décision des autorités internes, des données médicales de prostituées séropositives et leur médiatisation.Elle concerne également les (...)Cet article est réservé aux abonnés