La cour d’appel de Paris condamne un hacker pour avoir téléchargé des données de santé publique en libre accès.
Lors d'une recherche sur le site Google, un hacker tombe par hasard sur un serveur de l’extranet de l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments pour les humains et les animaux (Anses) recelant 8.000 fichiers non sécurisés. Les documents concernent la santé publique et notamment les risques liés aux nanomatériaux. Le hacker en télécharge plusieurs et en transmet à un journaliste qui publiera un article sur un site internet. Le hacker, assigné en (...)
Cet article est réservé aux abonnés