Un message outrageant a été envoyé à trois dirigeants d'un groupe émanant de l’adresse électronique [email protected]. L'un de ces dirigeants a crû reconnaître certaines expressions utilisées par un ex-collègue. Il lui a alors envoyé un courrier électronique auquel ce dernier a répondu. Après analyse, un centre d’expertise de logiciels a démontré que l’adresse IP correspondant au message litigieux et celle de la réponse de l’ancien (...)
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