Un salarié a été licencié pour faute grave pour avoir utilisé le matériel informatique professionnel dans le but de harceler sexuellement et moralement un de ses collaborateurs directs sous des pseudonymes féminins. Il a saisi la juridiction prud’homale d’une demande de paiement d’indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse. La cour d'appel d’Aix-en-Provence l'a débouté de sa demande. Les juges du fond ont relevé que le salarié avait, (...)
Cet article est réservé aux abonnés