La réalité et le sérieux du motif de licenciement s'apprécient au jour où la décision de rompre le contrat de travail est prise par l'employeur.
Mme X. a été licenciée le 16 mars 2005 pour absence prolongée depuis le 18 septembre 2003 désorganisant le fonctionnement du service commercial et de l'entreprise et rendant nécessaire son remplacement définitif. Suite à la contestation en justice du caractère réel et sérieux de son licenciement, la cour d'appel de d'Aix-en-Provence, dans un arrêt du 15 avril 2009, a fait droit à sa demande, au motif que l'employeur avait tenté de pallier l'absence de la (...)
Cet article est réservé aux abonnés