La cour d’appel de Rennes a confirmé l’interdiction de l’insémination post-mortem.
Le 22 juin 2010, la cour d’appel de Rennes a rejeté la demande d’une veuve qui voulait récupérer les paillettes de sperme congelées de son mari défunt en vue d’une insémination à l’étranger. La cour d'appel s'est appuyée sur la loi française qui stipule que le décès d'un des membres du couple "fait obstacle à l'insémination ou au transfert des embryons". Elle souligne que la conservation du sperme était strictement personnelle et qu'une restitution (...)
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