Une salariée, licenciée pour insuffisance professionnelle, a contesté cette décision devant la juridiction prud'homale. Dans un arrêt du 8 janvier 2008, la cour d'appel d'Aix-en-Provence a condamné l'employeur à payer à la salariée une somme à titre d'indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse. Les juges du fond ont relevé que la signature de la lettre de licenciement était précédée de "po". Ils ont rappelé que si la lettre de (...)
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